PIC-NIC HISTORIQUE

Samedi 30 juillet de 12 h à 15 h

Au deuxième jour des fêtes maritimes de l’Aber-Wrac’h, le Fort Cézon ouvre ses portes au public et propose pendant les 3 heures que permet la marée un moment que nous espérons convivial et spectaculaire, zen et instructif.

Vendredi 29 et dimanche 31, vous pourrez participer à nos visites guidées sur inscription. N’oubliez pas, il faut une vingtaine de minutes pour traverser l’estran depuis les parkings ! ( Tous les détails ICI )

PROGRAMME

  • Plein la vue
  • Concert
  • Installation sonore

Entrée gratuite – Apportez votre pique-nique Crêpes et buvette sur place

PLEIN LA VUE

En plein cœur des fêtes maritimes, où trouver un meilleur point de vue que l’île Cézon qui surveille l’entrée de l’Aber-Wrac’h depuis des siècles ? Sa tour culmine à 14 mètres au-dessus de la mer. Faites chauffer vos appareils photos !

CONCERT à Histoire

13 H

Flûtiste et violoniste de renom, Jean-Luc Thomas et Gabriel Faure revisitent les thèmes de la danse à chaque occasion avec liberté, fantaisie, écoute réciproque, réactivité, variations et improvisations. Ils infusent dans les airs traditionnels populaires les accents et les rythmes glanés lors de leurs voyages au long cours. Irlande, Brésil, Balkans, Niger, Inde… Les cinq continents et les cultures de leurs frères terriens les inspirent.

Ils seront rejoints au cours du concert par Paul Madec, chanteur et comédien, qui retracera en mots et en chanson l’histoire d’un terrible naufrage dans lequel le Fort Cézon à joué un rôle primordial. La  » Gwerz Darvoud Landeda  » ( la complainte de l’accident de Landéda ) a été collectée au XIXème siècle.

INSTALLATION SONORE

Pendant 3 ans, au sein de la coopérative artistique 109, Hughes Germain a guetté le moindre son émis par l’île et ses habitants, bêtes ou êtres humains. Ses enregistrements ont donné lieu à plusieurs spectacles et installations (voir dans notre armoire à événements ). À l’occasion de cette journée exceptionnelle, il nous fait le plaisir de revenir nous délivrer sa poésie sonore, là où on ne l’attend pas. Le propre de la poésie, non ?

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