. Vendredi 20 août – 21 h 30 – Rendez-vous sur la grève face à l’île Cézon ( Parking de Kergoz ou Porzh Mateano )
Musique et chaleur – Sur réservation : 02 98 04 05 43 ( et au 06 68 83 89 62 à partir de 16 heures le jour du spectacle)– Passe sanitaire
Entrée : 10 euros / 5 euros pour les mineurs, étudiants et demandeurs d’emploi
Les habitués de Cézon connaissent la magie des nuits sur l’île. La Vieille Dame offre des ombres étranges au crépuscule, et quand ses murs et ses chemins se teignent de la lueur d’un feu, l’imaginaire se régale. C’est cet autre visage de Cézon, dans une scénographie de mise en lumière, que nous vous proposons de découvrir.
Plaisir des yeux mais plaisir des oreilles également. Jusqu’à 00 h 30, deux concerts exceptionnels pour deux ambiance différentes vont se succéder.
siiAn TRIO
SiiAn est une chanteuse musicienne voyageuse qui emprunte sa route musicale jusqu’aux confins des Orients. Portée par le souffle des arpenteurs du Monde et par ses rencontres avec de jeunes réfugiés, SiiAn poursuit avec Erwan Tassel et Benoit Josse une exploration des grands classiques de différents pays, du Désert du Thar aux portes de l’Amérique. Départs, espoirs, escales crépusculaires, mémoires suspendues: un hommage aux voyageurs contraints ou volontaires, où se télescopent l’Est et l’Ouest, les océans de sable et les cités de containers, la solitude dans l’immensité et la chaleur résistante de l’humanité.
siiAn: chant / rubab afghan / guitsiies – Erwan Tassel : flûte traversière / batterie arrangée / t’bels – Benoit Josse: violon – Géraldine Le Boulch : son
NEFERTITI IN THE KITCHEN
Ce duo, composé de Jen Rival et de Nicolas Meheust, tous deux multi-instrumentistes, vous invite à leur cabaret excentrique et polyglotte, traversé de saynètes oniriques et de sons intrigants. On songe aux années folles, mais Tom Waits, Marc Perrone ou Radiohead ne sont jamais loin. Un métissage rocambolesque aux descendants bien singuliers alliant la classe, le charme d’une envolée lyrique et le délire d’un personnage de cartoon aux doigts coincés dans une prise électrique. Vous comprendrez alors la raison pour laquelle une Pharaonne de la XVIIIème dynastie se retrouve dans la cuisine. Ou pas.
